Corre-La Licorne et la competition sportive
automobiles Corre et Corre-La Licorne en course
1901
1902
1904
1905
26 / 29 -06 -1901  Paris - Berlin

categorie c - voiturettes

1: Renault (driver Louis Renault)         19h. -31
2: Grus                                             22h. -58
3: Corre nr. 154 (driver L. Morin)  29h. -  7
4: Merville                                        34h. - 31
5: Lamy                                            35h. - 40
6: Delisle                                          37h. - 29

classement général

  1: Henri Fournier    - voiture Mors Z      -startnumber 4          15h33m06s
  2: Leonce Girardot - voiture Panhard   -startnumber 6           16h38m38s
37: Morin                  - voiturette Corre -startnumber 154       29h00m04s

Ne pas finished
Voiturettes (up to 400 kg)
     Jean Marie Corre - voiture Corre - startnumber 88 (max. 400kg)
Coupe du Matin, 02-08-06   
Circuit du Nord

Categorie Monocylindre
1ste prix M.S.Bernard
15 & 16-05-1902  - I  Circuit du Nord
à l' Alcool, offerte par le Ministre de l'Agriculture
mèdaille d'argent - categorie Voiturettes

1) Maurice Farman - Panhard 70 - startnr.   2
19) Jean M. Corre    - Corre         - startnr. 58
Ne pas finished
    Buchillet              -Corre         - startnr. 59

Paris - Madrid     categorie  `Touristes`
Mèdaille de Vermeil,
offerte par l'A.C.F. à M.Henri Ferrette, Député de la Meuse
Libourne
Circuit des Ardennes  (Bastogne /Arlon-Belgique) (2x 136 km)
22 & 23-06-1903
categorie Voiturettes - Coupe de régulairité, offerte par le journal l'AUTO


Meeting de Dourdan
2e Prix - categorie Voiturettes légères


par Serge Pozzoli ( Le Fanauto no 194 decembre 1984)

Lors de l'épreuve Paris-Toulouse-Paris, courue du 25 au 28 juillet, le nom de Corre apparut dans l'histoire de la Course automobile en 1900.

Corre est engagé en catégorie "voiturettes"sur une modeste Fouillaron pesant 259 kg, équipée d'un mono-cylindre De Dion de 82mm d"alésage et 90 mm de course soit 0,475 litre de cylindrée.
Huit voiturettes prennent le départ. Louis Renault enlève la categorie mais la Fouillaron de Corre ne figure pas dans les trois "voiturettes"qui terminent.
En 1901, la grande manifestation était le Paris-Berlin, mais un mois plus tôt, un Paris-Bordeaux devait tester les voitures paris-berlin. En effet, la défaite de 1870 était encore fraîche dans tous les esprits et le désir de revanche était toujours vif : les voitures françaises devaient vaincre.
Paris - Vienne (Parijs-Wenen) 26-06-1902 à 05-07-1902
4 de prix categorie Voiturettes (Durand)


A De Dion-engined  Corre running on alcohol entered in the 1902 Circuit du Nord

Deux véhicules de marque Corre sont engagés en catégorie `Voiturettes` caburant imposé l´alcool
Ici en photo une automobile Corre avec no. 48 pilotée par J.M.Corre

Count d'Hespel at the wheel of the 2 cylinder Corre during the 1903 Circuit des Ardennes.
Le comte d'Hespel au volant du deux-cylindres Corre sur le "Circuit des Ardennes" en 1903
numéro de départ 52
par Serge Pozzoli ( Le Fanauto no 194 decembre 1984)

Pour Paris-Bordeaux, Corre avait construit une voiture portant son nom, qui courait en catégorie "Voiturettes". C'était un petit véhicule à chassis tubulaire et roués fils muni du 6 chevaux De Dion-Bouton de 90m/m dälésage et 110m/m de course avec soupape d'admission automatique; refroidissement à eau, embrayage cone, boîte à trios vitesses et transmission par chaîne. Si Fournier gagne l'épreuve, sur sa Mors a 85 de moyenne, la catégorie "Voiturettes" est enlevée par Louis Renault, suivi de Marcel Renault, à plus de 55km/h de moyenne.
Notre Corre avait dû abandonner.
Paris - Bordeaux - Paris
par Serge Pozzoli ( Le Fanauto no 194 decembre 1984)

Ce n'est pas une mais deux Corre qui sont engages dans le Paris-Berlin. La nummero 88 aux mains de Corre et la pilotée par Morin. Une de ces voitures est différente car elle est à transmission par cardan. Le moteur de Dion de 6 chevaux a toujours 90 m/m d'alésage, mais seulement 100 m/m de course et les roues sont en bois.
C'est vraisemblablement l'épure du futur modèle de tourisme prévu pour être vendu en 1902. Je dois vous signaler que la vitesse de ces deux bolides de 395kg oscillait entre 60 et 65km/h.
Elles sont opposées à dix autres voiturettes ; Renault, Darracq, etc. Au terme de la première étape, à Aix-La-Chapelle, Corre à dû abandonner, mais Morin est septième derrière les Renault. Louis Renault a mis 7 heures 23 minutes pour les 455 km et Morin 10 heures 12 minutes. La 2e étappe se termine à Hanovre. Morin est quatrième derrière les 8 chevaux Renault mais devant deux 6 chevaux Renault. Il gagne encore une place à la dernière étape qui se termine à Berlin. Louis Renault est premier et Morin troisième. Au classement général, Fournier est premier sur une 60 chevaux Mors à 71 km de moyenne, Louis Renault huitième à près de 60 de moyenne et Morin trente-sixième à 38 km de moyenne et troisième des voiturettes.

31-07-1902
I  Circuit des Ardennes (Bastogne) (512 km = 6x 85,34 km)
1 ste prix categorie Voiturettes - mèdaille d'or

  1) Charles Jarrot - Panhard st.nr. 32
27) Jean M. Corre - Corre     st.nr. 48
( 1e prix categorie voiturettes)
Les résultats de la grande course d'automobiles qui vient de traverser la France, la Suisse, Le Tyrol et la moitié de l'Austriche ont été ceux que la connaissance des machines engagées et du terrain à parcourir laissaient aisément prévoir.
26 juin 3h.30 du matin le départ de la course fut donné à Champigny. 137 partants, de 2 minutes en 2 minutes. Belfort est le point terminus de première étape à 407 km. En cours de route, des chronométreurs postés de 200 en 200 mètres
Les 274 véhicules engagés dans la course ( organisée par l'automobile-Club de France) sont divisés en quatre catégories: 1. 650-1000 kilos voitures proprement dites, 2.  voitures légères de 400 à 650 kilos, 3. voiturettes de 250 à 400 kilos, 4. motocyclettes de 50 kilos et au-dessous. Départ à Versailles.
1-dimanche 24 mai, Versailles - Bordeaux  2-26 mai, Bordeaux - Vitoria  3-27 mai, Vitoria - Madrid.
Le gouverment comment un arèté du ministre de l'Intérieur a brusquement interrompu cette épreuve meurtrière, à Bordeaux, terme de la première étape. Une parcours ne pas du victoire mais une parcours de désastre, une parcours impossible. Vitesses de plus de 140 kilomètres à l'heure couses beaucoup de accidents. Victims: Marcel Renault ( Renault No. 63) succombé dans la soirée de mardi, vers 11.30 h aux suites de ses blessures à Poitiers. Aussi Maurice Martin, Georges Richard et assistent M. Jeannot ( No. 26), M.Tourand et M.Normand (Brouhot No. 23), M.Stead et chauffeur, M.Terry (Mercedes No. 290) sont morts.
à Bordeaux arrivée: M.Gabriel avec une grosse voiture Mors en 5h. 13 min. 31sec. (moyenne de 105 km/h.)
Louis Renault avec voiture  légère Renault, ayant fait le parcours en 5h. 39min. 59sec. (moyenne de 99 km/h.)

Fournier sur route
voiture Darracq a l'alcool en pont de bregenz
d'Hespel sur Corre au circuit des Ardennes 1906
1898
25 & 28-07-1900  - Paris-Toulouse-Paris ( Grand Prix de l´ACF ) (1347 km)

1)   Alfred Velghe      - voiture Mors Z -startnumber  6
14) Henri Fournier     - Tricycle de Dion-startnumber 65

Ne pas finished
     Jean Marie Corre - Tricycle Fouillaron -startnumber 51
automobiles Fouillaron sur course 

starts    -8
Finished -3
Points    -0
wins      -0
podium  -0
automobiles Corre sur course 

starts    -60
Finished -34
Points    -49
wins      -  2
podium  -  4
29-05-1901  II Paris-Bordeaux (coupe internationale )

1)   Henri Fournier      - voiture Mors Z - startnumber 18  6h10m44s
2)   Maurice Farman             Panhard    startnumber  31  6h41m15s

Ne pas finished
     Jean Marie Corre  - voiture Corre   - startnumber 84
VII Grand Prix de l´ACF Paris-Vienne
classement général

  1) Marcel Renault       - voiturette Renault AK - st.nr. 147
48) Durand                  - voiturette Corre       - st.nr. 188
65) Buchillet                - voiturette Corre       - st.nr. 187

1898 -1932
Meeting d'Ostende, 1903
categorie Voiturettes - Classement Général du mille et du kilomètre.
1er M. le Comte  Pierre d'Hespel

1:  Louis Wagner                -Darracq  -startnumber   1
5:  Jean Corre                    -Corre     -startnumber 50
10: Person                          -Corre     -startnumber 51
11: d'Hespel de FLENCQUES   -Corre     -startnumber 52
Periode Lestienne
25 & 26 june 1898
Course Bruxelles-Chateau d'Ardenne-Spa
Premier jour : 25 juin, Bruxelles-Château d'Ardenne - 108 km
Deuxième jour : 26 juin, Château d'Ardenne-Spa - 102 km

Tricycles à moteur categorié :
Résultats premier jour :
1. Marcellin 3h47m
2. Corre 4h
3. Osmont 4h02m
4. Bardin 4h03m




1898 CRITERIUM DES ENTRAINEURS (11-12 MAI) Le deuxième concours français d'importance était le Criterium des Entraineurs, qui dura également deux jours. La distance était de 356,5 milles. La deuxième journée a été gâchée par une très mauvaise météo qui a grandement contribué à réduire le nombre de concurrents. Il n'y avait pas beaucoup d'engagements, qui étaient divisés en seulement deux classements, autos et cycles. Seulement 9 voitures et 13 cycles ont commencé.
11 & 12 - May - 1898 Paris -Bordeaux ( 573 km) I Criterium des Entraneurs = 2e Grand Prix de l' A.C.F.
Paris-Bordeaux: 573.7 Km/ 37.60 kmh (23.36 mph)

categorié voiture
1) René de Knijff       - Panhard 6cv -stnr. 1 -Time: 15:15'31  -22.1 mph  
2) Fernand Charron   - Panhard 6cv -stnr. 2 -Time: 15:15'31   -18.9 moh
3) Breuil                  - Panhard 6cv -stnr. 11 -Time: 15:15'31  -18.3 mph

categorié tricycle (motorcycle)
1) Jean Marie Corre - (Fouillaron) de Dion 3cv -stnr. 10  -Time: 15:15'31- 18.1 mph
2) Marot                  - de Dion                   -stnr. 16 - Time:  19:56'08"  -
3) Alexandre Caron    - de Dion                   -stnr. 17  -Time:   20:24'53"
7-13 juillet-1898 PARIS-AMSTERDAM-PARIS
La plus grande course automobile française en 1898 a été le concours Paris-Amsterdam-Paris de 889,25 milles organisé du 7 au 13 juillet et organisé en six segments quotidiens. Le 10 juillet, c'est-à-dire après que les voitures aient atteint la mi-parcours, était réservé comme jour de repos et de détente avant le retour à Paris. Cet événement était en fait un véritable renouveau de la grande et annuelle tradition des courses françaises "de ville à ville" déjà quelque peu établie par les concours Paris-Bordeaux-Paris de 1895 et Paris-Marseille-Paris de 1896, bien qu'il n'y ait rien de tel. courir en 1897. Cependant, ce format de base durerait désormais, sans interruption, chaque année suivante jusqu'en 1904. Cet événement de 1898 a été organisé entre les capitales européennes de la France et des Pays-Bas (Hollande) et a été la première occasion où une grande course automobile franchi une frontière internationale. Pour la toute première fois également, un citoyen américain a concouru et piloté une voiture dans une importante course automobile européenne. La personne ici étant M. George Heath, un expatrié américain, vivant alors à Paris. Il conduisait une Panhard 6cv.
Classe BTricycles :
1) nr.69 Marcellin – Phébus – 39 h. 36 min. 37 sec.
2) nr.43 Osmont  – De Dion - 41 h. 20 min. 46 sec.
3) nr.39 Corre     – De Dion-52h. 42min. 20sec. 
4) nr.41 Teste     – De Dion -54h.  19min.  3 sec.
5) nr.27 Gaétan de Méaulne – De Dion -58h. 51m. 16s.
note:
“Voiturette” was a name registered in 1896
for the Léon Bollée cars, the 3-wheelers.
1899
21-june-1899
XIX century classification

Tricycles:
1. Teste      -stnr.49
2. Beconnais-stnr.36
3. Tart        -stnr.33
4. Osmont    -stnr.30
5. Corre       -stnr.23
Remarque:
La raison intrinsèque de ces classements publiés dans la presse contemporaine dans la seconde moitié de 1899 et au début de 1900 était la Coupe Bennett. Le 21 juin 1899, une première lettre de James Gordon Bennett décrivant son idée d'un concours international est lue par le Comité de l'ACF.
Les règles étaient les mêmes que pour le match Paris-Marseille de 1896.
Le baron néerlandais van Zuylen van Nyeveldt, le comte de Dion et le journaliste automobile Paul Meyan avaient précédemment fondé l'Automobile Club de France.

étapes de dix jours.
Après chaque étape, les voitures participantes étaient placées dans un parc-fermé.
Chaque participant devait entretenir sa voiture avec ses propres outils.
Personne n'était autorisé à aider les participants.

Il y avait 3 étapes au total :
Paris-Bordeaux
Bordeaux-Vittoria
Vittoria Madrid.

Pour la course Paris-Madrid, 250 des 314 participants étaient inscrits pour la course de vitesse.
La société Corre a participé avec 7 voitures

En France en 1903 il y avait environ 13000 véhicules immatriculés.
La plupart d'entre eux étaient sur les routes de Versailles ce jour-là.
Surtout au pont de Suresnes c'était très fréquenté.
On estime que plus de 20 000 personnes étaient présentes au moment et autour du départ.
La compétition a attiré au moins 3 millions de personnes et la sécurité du parcours n'a pas été prise en compte.
En conséquence, de nombreux accidents se sont produits.
Jeudi 7 juillet -303 kilomètres au total : Paris, Coulommiers, Épernay, Reims, Rethel, Roccroi, Givet, Château-d'Ardenne.
Vendredi 8 juillet -275 kilomètres : Château-d'Ardenne, Rochefort, Marche, Barvaux, Comblain, Liège, Visé, Maastricht, Venlo, Nimègue.
Samedi 9 juillet - 114 kilomètres : Nimègue, Arnhem, Utrecht, Amsterdam.
Dimanche 10 juillet - Exposition à Amsterdam

Lundi 11 juillet -289 kilomètres au total : Amsterdam, Utrecht, Arnhem, Nimègue, Venlo, Roermond, Maastricht, Visé, Liège.
Mardi 12 juillet -264 kilomètres : Liège, Werbomont, Houffalize, Bastogne, Arlon, Luxembourg, Longwy, Longuyon, Etain, Verdun.
Mercredi 13 juillet - 312 kilomètres : Verdun, Chalon, Champauhèrs, Coulommiers, Melun, Choisy-le-Roi, Versailles, Paris.
Remarque:
Les compétitions de l'Automobile Club de France étaient :

1895 (1) Paris-Bordeaux-Paris (1192km)
1896 (2) Paris-Marseille-Paris
1898 (3) Paris-Amsterdam-Paris
1899 (4) Tour de France (automobile)
1900 (5) Paris-Toulouse
1901 (6) Paris-Berlin
1902 (7) Paris-Vienne (Vienne)
1903 (8) Paris-Madrid
1906 (9) Grand Prix de France (1er circuit au Mans)

Il est décidé en 1906 de créer son propre Grand Prix de France.
Ceux-ci ont remplacé les matchs Gordon-Benett.
Le premier Grand Prix était, comme en tête de liste, la neuvième course.
Il s'appelait alors le « 9ème Grand Prix de France ».


july 1894 Paris-Rouen ( 126km)

à partir de 1894 les concours deviennent de véritables concours car dès lors il y a de grands lots à gagner.
Avant cela, la vitesse n'était pas importante, mais les trajets étaient la preuve que l'on pouvait parcourir de grandes distances avec une voiture.
Le vainqueur du concours de rue "Paris-Rouen" a été récompensé de 5000 francs or par la direction du journal "Petit Journal".
Ce premier vrai match est né d'un meurtre. Un meurtre avait été commis à Saint-Denis à Paris et les rédacteurs du Petit Journal l'apprirent alors que les journaux étaient presque épuisés. Il était donc trop tard. Jacques Andrée a suggéré que s'il avait eu une voiture, il aurait pu livrer la nouvelle à temps.
Afin de convaincre le directeur de la fiabilité d'une voiture sur de longues distances, Jacques avait émis l'idée d'organiser un concours et de le faire organiser par le journal. Il y aurait suffisamment de participants pour un prix en argent. Et ils sont venus, +/- 120 participants avec des voitures à air comprimé, ressorts hélicoïdaux, électriques, moteurs à gaz ou à essence et voitures à vapeur.
Les voitures à essence ont reçu le plus de prix, ce qui a incité le comte de Dion à construire des moteurs à essence pour les compétitions avec son partenaire Bouton. Ces moteurs pourraient être achetés par n'importe qui.

Après ce concours, le comte de Dion forme un comité pour organiser le concours Paris-Bordeaux en 1895.
Le directeur du "Petit-Journal", Mrinoni, craignait les critiques en cas d'accident et refusait de participer au comité.

11 juin 1895 Paris-Bordeaux-Paris (1192km) = 1er Grand Prix de l'A.C.F.

Le comité a été transformé en comité permanent appelé "Automobile Club de France"
102 participants dont Levassor qui fut le premier arrivé à Bordeaux avec une vitesse moyenne de 24 km/h.
Il répond à un journaliste que les voitures de course d'aujourd'hui sont les voitures de tourisme de demain.
C'était vrai, car à l'époque, les gens pouvaient acheter les voitures de course par la suite.
Corre La Licorne a longtemps gardé cette tendance car tous les premiers exemplaires
de nouveaux modèles ont d'abord été largement testés en rallye.



Les véhicules exécuteront la boucle : Bastogne, Champlon, Saint-Hubert, Libramont, Neufchâteau, Habay, Martelange et à nouveau Bastogne.
Les véhicules exécuteront la boucle : Bastogne, Champlon, Saint-Hubert, Libramont, Neufchâteau, Habay, Martelange et à nouveau Bastogne.
29 juin
Le triomphe de Renault
Marcel Renault, le frère de Louis, remporte la course Paris-Vienne à bord d'une nouvelle Renault 4 cylindres, dans la catégorie des voitures légères. La course a regroupé 148 concurrents et Renault a parcouru les 1140 kilomètres qui séparent les deux villes en 29 heures et 30 minutes. Marcel Renault mourra dans un accident lors de la course Paris-Madrid l'année suivante. Ce sera la fin des courses de ville à ville et le début des circuits fermés.

Marcel Renault won the course Paris-Vienne with his new car 4 cylinders among 148 concurrents. He drove the 1148 kilometers between the two towns in 29 hours and a half. Marcel Renault died one year after during the course Paris-Madrid
22 voitures et 10 motos de Bastogne ont participé à l'édition 1902. Ils suivirent six fois le même itinéraire à travers les Ardennes, passant entre autres par Neufchâteau et Habay la Neuve. La compétition connaît un retentissement international considérable et les années suivantes, le « Circuit des Ardennes » est une compétition importante à laquelle de nombreuses marques et pilotes doivent leur renommée.

1902 - Charles Jarrot (GB), avec Panhard Levassor
1903 - Pierre de Crawhiz avec Panhard Levassor
1904 - Georges Heath (GB) avec Panhard Levassor
1905 - Victor Hemery (F) avec Darracq
1906 - Duray (B/F) avec Lorraine Dietrich
1907 - Baron de Caters (B) avec Mercedes (formule libre) et Lord Moore-Barbazon (GB) avec Minerva (Kaiser Preis
Grand Prix de france       1e Circuit de la Sarthe Inferieure
26-27 june 1906

1906 ACF GP (IX Grand Prix de l'Automobile Club de France,
C'est bien sûr le premier GP de France, pas le neuvième,
mais les Français ont rétrospectivement inclus les anciennes courses de ville à ville dans leur décompte GP)
En 1905, une course similaire de 500 mètres a été courue - à nouveau à partir de Quatre-Chemins sur la route de La Turbie - cette fois comme une étape amusante du Concours de Tourisme pour La Semaine de Nice - "La Semaine de Nice". Partant d'un départ arrêté avec Paul Meyan, rédacteur en chef de "La France Automobile", et son ami Braun chronométrant les courses, le résultat a été le suivant :

1. Von Robert, Mercedes - 1:15
2. Liegeard, Peugeot - 1:16.6
3. Schwab, Berliet - 1:25.8
4. Cardinal, Bayard-Clement - 1:35.6
5. Cote, Pilain - 1:44
6. Meynard, Pilain - 1:55.4
7. Portal, Corre - 1:58
8. Chalancon, 2:10.2
9. Siegman, 2:12.2*
10. Guidi, Renault - 2:14.2
11. Rigod, 2:15.4**
Paris-Bordeaux Trail
29 May 1901 - Paris-Bordeaux: 527.1 km
26-29 June - Paris-Berlin: 1105 km
Subsequently named VI Grand Prix de l'A.C.F.
startnumber: 186. CORRE        Corre Voiturette - 8cv
                  187. BUCHILLET   Corre Voiturette - 8cv
                  188. M. DURANT  Corre Voiturette - 8cv

catégorie Voiturette :

quatrième place pour Durand
huitième place pour Buchillet
Jean Marie Corre a dû s'arrêter dans le premier tour.
Classement      N°                 PILOTE                                    Voitures                       Catégorie                 Temps
60                    31                 Jean marie CORRE                Corre                           Voiture                     9 h 21 m 50 s
61                    131                d'HOUDEAUVILLEP                  assy-Thellier                 Voiture                      9 h 25 m 31 s
62                    36                 Otto HIERONYMOUS                Mercedes                      Grosse voiture          9 h 31 m 45 s
63                    272                VERSEIN                                 Motobloc                       Voiture légère           9 h 39 m 47 s
64                    225                Arthur DURAY                          Gobron-Brillié                Grosse  voiture         9 h 41 m 01 s
65                   262               Robert d'HESPELde FLENCQUES   Corre                           Voiture légère         9 h 46 m 25 s
66                    278                DURANT                                  Mors                               Grosse voiture         9 h 50 m 42 s
67                    158                Carel van der HEYDEN            Panhard et Levassor     Grosse voiture         9 h 51 m 12 s
68                    52                 TURR                                        Panhard et Levassor     Grosse voiture         9 h 57 m 19 s
69                    34                 DEGRAIS                                  Mercedes                       Grosse voiture        10 h 03 m 40 s


81                   223                AARON                                  Corre                            Voiture                   11 h 23 m 22 s
90                   263                PERSON                                Corre                            Voiture légère        12 h 32 m 32 s

dit not finished: Durand -  Corre -startnumber 164
dit not finished: Buchillet - Corre -startnumber 180
dit not finished: Coquard - Corre -startnumber 266
depart des coureurs a Champigny
1: Fernand Gabriel -   Mors Z    - startnumber 168
2: Louis Renault -   Renault AK   -startnumber 3

Près d'Angoulème, il y a eu un autre accident impliquant la voiture numéro 23, dans lequel le copilote a été blessé et le conducteur tué. Sur un tronçon de route en pente, qui est devenu un pont, la voiture a sauté dans les airs, ce qui a fait que le copilote qui se tenait dans la voiture a vu le pont, a perdu l'équilibre et a attrapé le conducteur qui a fait un faux mouvement sur le volant. et a couru dans les spectateurs. La voiture a ensuite percuté un arbre. Deux personnes sont mortes dans celui-ci.


Près de Libourne, la voiture numéro 8 a percuté un arbre qui se trouvait au bord de la route. Le conducteur avait d'abord fait une embardée pour un chien, lorsqu'un autre chien est arrivé sur la route, il a de nouveau fait une embardée, heurtant l'arbre en conséquence. La voiture était à l'envers et le conducteur est décédé sur le coup. Il a été retrouvé sans visage. Son crâne est resté seul.
Un autre accident s'est produit lorsqu'un cheval a été surpris par une voiture venant en sens inverse et s'est placé de l'autre côté de la route.
La voiture a dû faire une embardée et a fait passer une de ses roues sur les jambes d'une dame qui regardait de côté avec son vélo.
Elle a été emmenée grièvement blessée et est décédée quelques jours plus tard des suites de ses blessures.

50 km avant Bordeaux, la voiture numéro 5 entre en collision avec un chien, provoquant un roulis en diagonale du véhicule sur deux roues puis s'immobilise contre un arbre. Les conducteurs ont été projetés au sol depuis la voiture. L'un était mort et l'autre grièvement blessé.

A Abelis, une femme a été renversée en traversant la route.
A Sillac, le véhicule de Fouran a refusé de s'arrêter, provoquant une collision. Les deux conducteurs et deux spectateurs ont été blessés.

Également au cours de cette course, plusieurs participants ont fait sortir leurs voitures de la route dans des fossés et des fossés, ce qui a entraîné des blessures.

Tout cela a mis un frein aux festivités qui ont commencé de manière colossale à Versailles le matin et se sont terminées par 7 morts et de nombreux blessés graves comme un jour noir dans l'histoire des courses françaises.
Jean Marie Corre - voiture Corre - startnumber 88
En 1902. Corre participe avec deux voitures sur le circuit "du Nord".
La course était divisée en trois classements.
Les voitures Corre ont été classées au classement "voiturettes"
Une voiture avec le numéro 48 était conduite par Corre et l'autre avec le numéro 49 par Buchillet.
Tous deux étaient équipés d'un moteur De Dion de 8 chevaux réels, 100x110mm (0,864 litres)
Soit dit en passant, c'est le même moteur que Renault conduisait en 1901 et il était frappant de constater que, en termes de forme, le capot avait une certaine ressemblance avec le capot de Renault, tout comme les radiateurs latéraux sur les côtés.
Malheureusement Buchillet a dû s'arrêter après 1 tour à cause de problèmes et Corre a quand même terminé dernier malgré ses nombreux problèmes avec la voiture
Sur les 22 voitures, 11 ont été classées dans la catégorie "voiturettes"
Deux d'entre eux étaient des voitures Corre conduites par Corre et Durand.
Corre a remporté sa première victoire pour sa marque ici et a été le vainqueur dans cette catégorie.
512 km en 9 heures et 34 minutes avec une vitesse moyenne de 53,5 km/h.
Jean Marie Corre at the wheel of the Corre, with 1 cylinder De Dion engine, during the 1902 Circuit des Ardennes.
Jean Marie Corre au volant de la Corre, avec 1 cylindre De Dion Motor, sur le "Circuit des Ardennes" en 1902
Les voitures Five Corre étaient les mêmes en termes de châssis qu'en 1902, mais désormais équipées de moteurs 2 cylindres
au lieu de 1 cylindre. Et 2471cm3 par cylindre de 110x130mm avec soupapes d'admission automatiques
et Refroidissement par thermosiphon. Un embrayage à cône, trois vitesses et un entraînement par cardan.
Le moteur 12cv donnait à la voiture un poids total de 395kg.
Les voitures étaient conduites par Durand, Buchillet, Aaron, Corre et Coquard et étaient classées dans la catégorie "Voiturettes".

Deux autres voitures Corre, d'un poids de 490 kg, sont classées dans la catégorie "Voitures Légères".
L'un était monté par le comte d'Hespel et l'autre par Person. Ce dernier avec 4 cylindres et 16 cv.

Corre est arrivé premier de son classement et a roulé en 9 heures et 21 minutes à une moyenne de 60 km/h.
D'Hespel a terminé seizième des "Voitures Légères" et Person vingt-troisième.
les autres n'avaient pas terminé la course.
Le nombre des participants a été limité à 3 voitures par marque.
Jean Corre engage trois voiturettes de Paris-Madrid et il se vendent bien.
Corre se consacre à leur fabrication mais...qui a bu boira.

Circuit des Ardennes, 13-08-06
Dans 1906, Corre construit pour le circuit des Ardennes à la demande et aux frais de Comte d´Hespel une voiture de course de la catégorie -1000kg-.
Un important véhicule, entrainé par un gros 4 cylindres , 150m/m de course et d´alésage, de 10,6 litres de cylindrée développant 70 chevaux à 1200 tr/mn équipé d´une boite a trois rapports, d´un embrayage à cone et d´une transmission à  cardan. Le radiateur à nid d´abeille était placé derrière le moteur. Corre avait retenu son capot alligator. La voiture pesait 1007 kg. 7kg pour le batterie.

Vingt-sept voitures étaient engagées dans cette course comportant sept tours de 85,7km : 4 Lorraine, 4 Darracq, 4 Brasier, 4 Mercedes, etc., voitures de 120 à 130 chevaux.
Le Comte d `Hespel n´avait donc que peu de chances de gagner et ce peu de chances fut totalement compromis par le bris de sa boite de vitesses au premier tour, ce qui entraina ipso facto son abandon.
1898 -1906
1907 -1924
1925 -1929
Paris-Madrid 1903

314 participants étaient inscrits à ce concours.
250 d'entre eux ont participé au Speedrun avec des moteurs de 60 à 100 ch.
La distance était de 2000 km et elle serait parcourue en 4 jours.
Sur les routes difficiles et dans les Pyrénées, routes extrêmement dangereuses.
Des vitesses de 143 km/h ont été atteintes et une distance de 552 km a été parcourue en 5 heures et 13 minutes, soit une vitesse moyenne de 105 km/h.

La première journée a été caractérisée par une série d'accidents si graves que le gouvernement français a décidé de les arrêter à Bordeaux.
Au départ de Versailles, le premier accident se produit et deux jeunes sont touchés et blessés.

Lorsque Marcel Renault a voulu doubler une autre voiture numéro 4 avec sa voiture numéro 63, les choses ont mal tourné.
Il a trop fait une embardée en passant et s'est écrasé contre un petit arbre, ce qui a fait chuter sa voiture et atterrir sur lui.
Il est décédé après avoir vécu dans le coma pendant quelques jours.

Parce que le conducteur de la voiture n°243 à Bonneval a pris son tour trop court et a percuté une maison, il a été éjecté de la voiture, mais a survécu.
Son compagnon de route était plus mécontent, car il s'est glissé sous la voiture qui avait pris feu. Il a été retrouvé carbonisé sous les restes de la voiture.

Il est convenu que 200 mètres avant les virages de Bonneval, les hommes se présenteront avec des drapeaux bleus et dans les virages avec des jaunes.
Pensant que la dernière voiture était déjà passée, ces hommes sont partis, faisant que la voiture suivante avait une trop grande vitesse pour faire le premier virage.

Vous comprenez que ces voitures roulaient à des vitesses de 120 km/h sur des chemins de terre. On vit quelque chose venir au loin qui passa comme un éclair et disparut dans un nuage de poussière. Ils passèrent si vite qu'on eut à peine le temps de reconnaître les voitures. Cependant, les copilotes ont souvent été vus penchés en arrière sur leurs sièges.
Le 24 mai 1903, des milliers de Parisiens se sont déplacés pour assister au départ de la course automobile Paris-Madrid de 870 milles. À 3 h 45, 274 des pilotes les plus rapides d'Europe ont donné le gaz. Avec des foules de spectateurs des deux côtés de la route menant à Madrid et des conducteurs rugissant à des vitesses proches de 90 milles à l'heure, la tragédie était prête à se produire. Les conducteurs ont tenté de contourner la foule, mais se sont plutôt écrasés contre des arbres et des ruisseaux. Un enfant s'est précipité devant l'une des voitures et un soldat s'est précipité pour la sauver. Tous deux ont été tués. Marcel Renault, pilote de course et constructeur automobile bien connu, est décédé après que sa voiture se soit renversée dans un fossé profond. Après 343 milles, le gouvernement français a arrêté la course à Bordeaux. Pas moins de 7 personnes gisaient mortes ; avec 15 blessés.
1896 - Bordeaux - Agen - Bordeaux

Les nouveaux tricycles de Dion ont également participé à cette compétition. Par exemple, Collomb (qui pilotera pour Corre La Licorne en 1907) obtiendra la cinquième place sur ce tricycle.
Le succès de ce concours fit beaucoup de publicité à l'usine de Dion et en un an ce tricycle fut le grand engouement français, notamment à Paris.
Jean Marie Corre (directeur de l'usine automobile G. Fouillaron) a pris un tricycle de Dion et s'est inscrit à cette compétition.
Il est devenu premier dans la catégorie des tricycles et quatrième au classement général.
en construction Corre at the circuit
Course de Cotes Chàteau-Thierry
, chassis 8 à 12.000 francs  2e et 3e Prix des voitures
1906 - Le Circuit des Ardennes
Le Circuit des Ardennes a eu lieu le 13 août, avec le succès habituel.

Par le comte Pierre d'Hespel, et l'ail.

"Nous avons eu un instant peur de ne pas arriver à Bastogne avec notre voiture Corre à temps pour être pesés dans la catégorie Voiturette, mais nous sommes arrivés bien à l'heure.
Notre voiture de course Corre a fait une excellente impression sur l'auditoire .
La voiture a de belles lignes, est suffisamment basse et bien plantée. Le capot est assez similaire à celui du Renault Grand Prix, avec le même nez effilé et les petites grilles à l'avant et sur les côtés.
Nous avons mis la voiture sur le pont-bascule et la voiture prête à rouler ne pesait que 1 007 kilogrammes avec un réservoir de carburant de milieu de gamme plein, une magnéto de rechange et des outils. La voiture était donc très légère.
La pesée des wagons a été très bien organisée sur le terrain de la gare et les travaux ont été supervisés par le comte de Liedekerke et Hautvast et ont été exécutés avec une rapidité remarquable.

Une fois la pesée terminée, nous n’avions plus qu’à nous soucier de notre temps libre. Pour ce faire, nous voulions voir quels records devaient être battus. Malheureusement cela n'a pas été possible, car cette fois à Bastogne et Longlier le parcours n'était plus le même que l'année dernière.
En 1903, le circuit montait tout d'abord sur Champion, pour redescendre sur 'Saint-Hubert el Neu('château, avant de reprendre après Longlier l'itinéraire des deux piemières années, adopté à nouveau cette fois-ci. Celte fois l'on piquera droit de Bastogne sur Longlier.

"Comme les années précédentes, nous passerons la nuit à Bastogne. Ce gros village de célibataires – il semble y avoir six fois plus de femmes que d'hommes – avec ses institutions religieuses entourées de hauts murs. Pour nous, Parisiens, nous ne sommes pas habitués aux lits à ressorts et sommes généralement trop courts. Nous avons donc très mal dormi. Le concert de cornes et de sirènes n'était pas propice à l'endormissement, surtout au passage d'un voiture de course. Nous nous sommes levés les yeux gonflés, avons déjeuné chez Collin. Le jambon local était bon.

L'automobile brasier n°16 en feu était en mauvais état. Tout semblait démoli. Mais les ouvriers d'Inferno sont des artistes et ils ont trouvé le moyen de restaurer complètement les défenses en quelques heures.
Nous avons également admiré les tribunes qui donnaient sur la route et sous lesquelles passaient les participants, comme en Allemagne, au Tauius. C'est une excellente mise en page car tout le monde peut tout voir clairement. Tout le reste était très bien organisé et le bull'ot ne laissait rien à désirer.

Les mauvaises nouvelles nous ont rendus tristes ; on avait appris que Pillelle, qui devait conduire la voiture de Grégoire sur le Circuit des Ardennes, avait été grièvement blessé ce matin près de Longlier. Il a un bras cassé et plusieurs contusions sur tout le corps, mais heureusement ses jours ne sont pas en danger. Son mécanicien Marcel n'a pas été grièvement blessé. Mulders, arrivé sur les lieux de l'accident un peu plus tard, nous raconte que cela s'est passé de la manière suivante : après avoir dépassé le virage de Longlier, Pillelle a pris une petite boucle trompeuse un petit peu trop vile. La voilure a culbuté el est allée sur un petit mur très bas, par-dessus lequel elle a passé el elle s'esl renversée dans le fossé. Mulders a transporté les blessés à Neufchâleau.


On s'est couché tard, et on a mal dormi, on s'est réveillé les yeux gonflés de sommeil, et on se dirige vers la place du Jarre, au milieu d'une haie de locaux qui taillent déjà des pipes et, très sportifs, calculent les chances des concurrents. C'est ainsi que nous nous réveillons, aidés par le son des trompettes à trois tons dont sont équipées la plupart des voitures de tourisme participant à l'événement. C'est très amusant, ces nouvelles trompettes allemandes, mais Coke ne peut jouer que trois notes, et musicalement, cela peut être un peu insuffisant.
Comte Pierre d'Hespel
Jean Marie Corre at the wheel of the 2 cylinder Corre during the 1903 Circuit des Ardennes.
Jean Marie Corre au volant du bicylindre Corre sur le "Circuit des Ardennes" en 1903
numéro de départ 50
Maurice Farman - Panhard
Jean Marie Corre sur tricycle de Dion strt. no.10 ( Fouillaron)  -1898
A cette occasion l'Automotil Club Bordelais, d'accord avec notre puissant confrère le Vélo, avait organisé une épreuve spéciale, dite le Critérium des Entraîneurs, sur le parcours Paris-Bordeaux.
Le départ a été donné aux 24 concurrents sur 52 engagés, de la Place d'Armes de Versailles où la manifestation avait attiré une foule suffisamment imposant2.
Ces partants étaient : De Knyff, Charron, Girardot, Degrais, Balaceano, E. Mors, Levegh,Corre, Breuil, Georges Auge,Deckert, Ph.Marot,Caron, Andry-Bourgeois, Georges Richard,Nicolas, Rigal,Gleize,Oury, Debacker, Antony et Corb, Griet, Mongredien, Teste.

Paris - Bordeaux - Paris, 11 &12 May 1898
La Coupe des Motorcycles, 14 june 1898
La Coupe des Motocycles, épreuve annuelle organisée oour la première fois l'an dernier s'est courue le mardi 14 juin. Le parcours de 100 kilomètres se faisait entre la borne 24 et la borne 34 sur la route de Quarante-Sous entre Saint-Germain et Ecquevilly.  Cela faisait donc en tout neuf virages sur place.

LE DÉPART:
A deux heures moins quelques minutes M. Rousseau, rédacteur en chef du Vélo, fait ranger les concurrents, et à deux heures précises le départ est donné avec un revolver à balles s'il vous plaît. On m'a assuré que ce revolver appartenait à un chauffeur décidé à se défendre contre les attaques possibles fde M. Hugues le Roux! ! !
Immédiatement un peloton de six se détache du reste du lot. Ce sont MM. Marcellin, Marot, Osmont, Oury, Santos-Dumont et Farman.
Au premier virage des vingt kilomètres Ph. Marot passe pre-mier en 24 minutes suivi par Marcellin en 29 m. 45 s. puis par Farman en 3o m.12 s. Osmont vient quatrième en 3o m.13 s. roue dans roue avec Farman. Ce n'est qu'après une lutte acharnée de 10 kilomètres qu'Osmont se trouve décollé; 5e Santos-Dumont en 3o m. 3o s. ; 6e Oury en 31 m. 50.; 7e Deckert en 32 m. 45 s. ; 8e Bardin en 37 m. 50 s.; 9e Wilfrid en 38 m. 55 s. ; 10e Griet en 42 m. 10 s.; 11e Corre en 5o m. 3o s. Ce dernier a eu son tuyau d'échappement brisé tandis que Caron voit sa soupape d'échappement guillotinée net a cause des chaos.
11e Corre en 5o m. 3o s.
Bordeaux - Perigueux, 21 june 1899
1907 -1924
1925 -1929
Départ a Chambourcy
1) nr.69 Marcellin – Phébus

1906
19-22 mai 1903
Par René Pennock et les archives régionales de Nimègue.

Le rassemblement de 1898, organisé par le club automobile français ACF, dirigé par son président
Baron van Zuylen, était un spectacle sans précédent. Ce fut la première course automobile transfrontalière
dans le monde. Au total, les participants ont amené 6 étapes entre Paris et Amsterdam et
de nouveau. Le voyage aller a été effectué via Reims, Dinant, Liège et Nimègue. Le retour par Nimègue,
Luxembourg et Verdun. La distance totale était de 1431 kilomètres. La deuxième étape s'est terminée vendredi
8 juillet à Nimègue au Vereeniging. Il y avait deux fois le dîner et 1x la nuit.
De Waal a été croisé avec le pont de lisier à Carême.
De Gelderlander a écrit: "Aujourd’hui, à sept heures du matin, une foule extraordinaire régnait
ferry à la Waalkade, où les automobiles communes (velo, voitures et voitures vitesse)
devait être transféré avec le yawpont. Le ferry était en l'honneur des étrangers avec une grande
battu des drapeaux flottants et a amené une grande douzaine d'entre eux à chaque fois
machines à cliquetis et à vrombissements.
... À un moment donné, toutes les machines avaient été transférées pour continuer le voyage de l'autre côté.
Cependant, nous avons entendu plusieurs dames, y compris la baronne Van Zuylen van Nye-
velt de participer davantage au concours. Ils en ont eu assez et l'ont fait pour le
poursuite du voyage en train, où ils seront certainement plus à l'aise dans des compartiments confortables
se sentent ensuite exposés au vent et aux intempéries sur ces hochets volants avec leur oppression
gaz ou de pétrole. "La flotte des Pays-Bas a été temporairement augmentée de plus de cinq fois
deux catégories: les touristes calmes avec 31 voitures et les sportifs avec vitesses
64 immatriculations, celles avec une vitesse d'au moins 60 km / h et plus sur les routes souvent non pavées
course. Les touristes étaient autorisés à voyager deux jours de plus que les Vitesses. Aux Pays-Bas
a suscité un vif intérêt et la presse a fait de nombreux reportages.
La journée de repos à Amsterdam, les voitures du Paleis voor Volksvlijt pourraient atteindre près de 50 centimes
vu. Sur les 95 voitures, seules 26 ont atteint l'arrivée, avec Fernand Charron comme vainqueur
avec 21 secondes d'avance! Ce que faisait le rassemblement que Nimègue faisait n'était pas une coïncidence. À l'origine
courrait de Paris à Vienne et retour, mais le Nijmegener M.W Aertnijs avait un
le jour précédent, le CNA avait été installé dans le Keizer Karelplein, sur le modèle français,
le Dutch Automobile Club, futur Royal NAC. Aertnijs était ami avec le président de
le Français ACF, le Hollandais Baron de Zuylen le Nijevelt de Haer et vu dans le rallye et la voiture
club mobile une bonne promotion pour son commerce automobile dans la rue Hugo de Grootstraat. Il connaissait la course
Les Pays-Bas, avec Nimègue comme scène. Le rassemblement a eu un grand impact sur la popularité de
la voiture aux Pays-Bas et Nimègue est devenue la ville automobile par excellence. À la fin de 1898, il y en avait treize aux Pays-Bas.
voitures autour, dont trois à Nimègue et deux à Ubbergen. En 1900, environ 250 voitures circulèrent
Pays-Bas, dont environ 70 proviennent de la société automobile de la rue Hugo de Grootstraat.
samedi 9 juillet 1898
9 juillet 1898 a Lent, Nijmegen Pays-Bas.   Jean-Marie CORRE sur son tricycle Dion vient ici juste le ferry avec un passager arrière.
Cette femme ( madamme RICARD ?) peut également être vue sur une photo d'elle assise dans le Peugeot no.124
1900
15-march-1900
Coupe des Voiturettes
AIR-COOLED VEHICLES

Serie C - 250Kg Max. weight:

31 - Schrader - Corre -de Dion-Bouton - 7:45;2
36 - Tarte - Clement - de Dion-Bouton - 5:46;55
40 - Georges Richard II (sic) - George Richard - 9:56;0
44 - Osmont - Phebus Aster - 7:17;8
50 - Demester - Gladiator Aster - 9:14;0
51 - Delisle - Rouxel Soncin - 7:40;0
52 - Emile - Societe Parisienne de Dion-Bouton - 8:3;38

published in 'La France Automobile' - page 160:
automobiles Corre et Corre-La Licorne en course
Place de la Concorde, Paris (Jules Beau)
Course Bruxelles-Spa 
25 & 26 june 1898
PARIS-AMSTERDAM-PARIS, 7-13 juillet-1898
Le choix d'Amsterdam comme destination de la première course internationale de l'Automobile Club de France, l'ACF, ne fait pas l'unanimité dès le départ. De nombreuses villes avaient été proposées, dont Vienne et Saint-Pétersbourg. Et bien que l'option russe fût sérieuse, elle fut finalement repoussée à 1899 en raison de la courte période pour faire tous les préparatifs nécessaires. Amsterdam était donc la meilleure alternative, les routes étaient bonnes ainsi que les contacts. De plus, la valeur de démonstration de la course pourrait être énorme, car de nombreuses personnes aux Pays-Bas n'avaient jamais vu de voiture auparavant.

Comme Amsterdam était relativement proche de Paris, il a été décidé d'inclure le retour à Paris, soit une distance totale de 1430 kilomètres. La course était divisée en 3 étapes aller-retour avec des arrêts à Château Ardenne, Nimègue et Amsterdam à l'aller et Liège, Verdun et Paris encore au retour. Les touristes ont utilisé 5 étapes avec Nimègue et Amsterdam comme halte simultanée avec la section course. Au retour, les touristes faisaient un petit détour par le Luxembourg. Le jour de repos (le 10 juillet) compris, la course durerait donc 7 jours, les touristes prendraient 11 jours : ces derniers partaient deux jours plus tôt et se terminaient deux jours plus tard.

La partie organisationnelle concernant les formalités douanières et autres arrangements avec les autorités étrangères a été réglée à temps. De sérieux problèmes ont cependant surgi après le départ des touristes. M. Bochet, préfet de police à Paris, a apparemment eu le sentiment de perdre le contrôle au profit de l'ACF quant à l'organisation de la course. Par conséquent, il a exigé que toutes les voitures de course soient examinées par lui pour recevoir un «certificat de réception», indiquant que le véhicule était sûr pour une utilisation sur la voie publique à Paris. Ce certificat était déjà obsolète depuis un certain temps, donc tout le monde était alarmé. C'est devenu un véritable enjeu lorsque la veille de la course M. Bochet a refusé les Bollées de course, suivies de bien d'autres. Elle s'est terminée par le fait qu'ils ont refusé que les participants fassent passer clandestinement leurs voitures pendant la nuit par le train de Champigny à Villiers, hors de portée de M. Bochet. Dans une action courageuse, Amédée Bollée a regagné les magasins d'essence gardés par les hussards de Bochet en faisant semblant de les ramener dans un endroit plus sûr à Paris.

Le lendemain matin, tous les véhicules agréés par M. Bochet se rendirent de Paris à Villiers-sur-Marne, où ils furent rejoints par les autres voitures. A 8h37, Charron est le premier à s'élancer, suivi des autres à 30 secondes d'intervalle. Le nombre total de participants au départ n'est pas tout à fait certain : Gérald Rose mentionne un nombre de 48, mais La France Automobile d'abord 47 et plus tard seulement 43. Nous savons bien sûr d'un billet précédent (19 juin 2017) que Vincke de Roch-Brault a déjà subi une casse de l'appareil à gouverner au départ. Probablement La France Automobile ne l'avait pas compté comme partant et peut-être aussi certaines des autres voitures, qui étaient déjà tombées en panne très peu de temps après le départ. Quoi qu'il en soit, la course était lancée et l'histoire continue la semaine prochaine !

Paroles d'Ariejan Bos.
Publié: mardi 10 avril 2018
C'était la première course internationale organisée par l'Automobile Club de France (ACF) alors âgé de seulement 3 ans. Une autre première était qu'il était combiné avec une section touristique, qui avait droit à quatre jours supplémentaires pour toute la distance. La raison du choix d'Amsterdam était qu'à cette époque aux Pays-Bas l'automobile était encore un phénomène presque inconnu : lorsqu'il a été décidé que la course se dirigerait vers Amsterdam, les Pays-Bas ne comptaient que 10 véhicules. Au moment de la course, ce nombre avait doublé à 20, ce qui était encore bien inférieur à la Belgique, ayant même une population plus petite. Les estimations pour la Belgique en 1898 étaient d'au moins quelques centaines de voitures (l'immatriculation n'a commencé qu'en 1900 lorsque 715 voitures ont été comptées), alors qu'une petite industrie automobile s'était déjà développée. Il était clair que les Pays-Bas avaient besoin d'un petit coup de pouce ! Par conséquent, l'ACF voulait avoir autant de voitures que possible dans le concours, qui seraient exposées à Amsterdam au Palais de l'Industrie pendant la journée de repos à mi-course.

Du 25 au 28 avril aura lieu une course commémorative organisée par le célèbre ClassicEvents, qui part de Paris via Nimègue jusqu'au château De Haar à Haarzuijlens (près d'Utrecht). Non, pas à Amsterdam à cause du trafic trop dense de nos jours, mais le château est aussi historique puisqu'il appartenait à la famille d'Étienne de Zuylen de Nyevelt de Haar, fondateur et président de l'ACF. Il avait épousé Hélène de Rothschild (membre de la famille du célèbre banquier) et tous deux participaient au concours, mais dans la section touristique : ils s'étaient inscrits sous les pseudonymes Escargot resp. Escargot.

L'un des 81 participants à la course commémorative de 2018 sera un Amédée Bollée de 1899 avec une équipe complète de PreWarCar. Cette voiture est de loin la plus ancienne de toutes et en vitesse, si on la compare aux autres participants, probablement comme les pseudonymes cités précédemment...

Dans une série d'articles, vous en apprendrez plus sur la course de 1898 et sur ce qui est arrivé à certains pilotes et à leurs voitures à l'époque. De plus, l'équipe PreWarCar-team vous dira tout sur la préparation de leur voiture, qui devra être performante pour suivre le rythme des autres participants et arriver à temps chaque nuit pour avoir au moins quelques heures de sommeil avant de se déplacer. le jour suivant.
Coupe des Voiturettes, 15-march-1900
Paris-Toulouse-Paris ( Grand Prix de l´ACF ) 25-07-1900 
Paris - Bordeaux - Paris, 29 may 1901
I  Circuit du Nord, 15-05-1902
Paris - Vienne
26-06-1902 à 05-07-1902
I  Circuit des Ardennes, 31-07-1902
Paris - Madrid, 24 may 1903      Vitesse "Speedrun"
Circuit des Ardennes
22 & 23-06-1903
Circuit du Nord
IX Grand Prix de l'Automobile Club de France, 26 & 27 june1906
Periode Corre
cliquez pour une suite
1903
Person avec bicylindre Corre sur le "Circuit des Ardennes" en 1903
numéro de départ 51
21-08-1898  I  Bordeaux - Biaritz ( 293 km)

1) Loysel                 - voiture Bollée
5) Jean Marie Corre - tricycle (Fouillaron) de Dion ( 2e - sur categorie tricycles )
30-09-1899 + 01-10-1899 Bordeaux - Biarritz ( 280km)



Corre nr.   31 - par: Jean Marie CORRE
Corre nr. 164 - par: DURAND
Corre nr. 180 - par: BUCHILLET
Corre nr. 223 - par: AARON
Corre nr. 262 - par: R. d'HESPEL de FLENCQUES
Corre nr. 263 - par: PERSON
Corre nr. 266 - par: COQUARD
1930 -
1930 -
Jules Beau photographe français

la Peugeot de RICARD (n°124) Foto: Jules Beau
25 et 26 juin 1898    Bruxelles-Spa
Antomobilc-Club de Belgique

La grande Course d'Automobiles qu'organise cet le année l'AutomobileClub de Belgique se fera entre Bruxelles et Spa, les 25 et 26 Juin; tel est, en effet, l'itinéraire définitivement arrêté par les Commissions chargées à l'Automobile-Club delà prépara lion des Courses: le trajet primitif, Namur-Spa ayant dû êlre abandonné. La manifestation du nouveau mode de transport n'en sera que plus grandiose, car entre Bruxelles et Spa, l'épreuve prend un caractère d'intérêt pratique qui la rendra concluante pour le public profane. Nous tiendrons nos lecteurs au courant des détails de cette course qui prend déjà les proportion d'un événement.

11 mars 1898
Course d'Automobiles de Marseille à Nice

La Course annuelle de Voitures automobiles de la Côte d'Azur a eu lieu les 6 et 7 Mars, sous le haut patronage de MM : le baron DE ZUYLEN, président, Comte DE DION, et HENRI MENIER, Vice-Présidents, A. BALLIF, DAVID SALOMONS, PIERRON. DUFAYEL, BERLIER, RENÉ DE KNYFF, VAUQUELIN, COIIENDET, Comte DE CIIASSELOUP-LAUBAT, RENÉ VARENNES, HÉRARD, CLÉMENT, CHAUCHARD et MALLEIN.

Le parcours total (240 kilomètres) a été partagé en deux étapes : 1°, Marseille à. Hyères (81 kilomètres), départ à 11 heures précises du village de Saint-Marcel; itinéraire, Saint-Marcel, Saint-Menet, Aubagne, Cuges, le Camp, le Bausset, OUioules, Toulon, la Garde et Hyères;

2°, Hyères à Nice (159 kilomètres), départ à 9 heures du matin; itinéraire, la Londe, Cogolin, Saint-Maxime, Saint-Aigulf, Roquebrune, Fréjus, les Adrets, Cannes, Golfe Jouan, Antibes, Cagnes et Nice.

Départ de Marseille [Saint-Marcel).- Il est exactement 11 heures et quart, lorsque les Starters, nos collègues BERLIER et HÉRARD, donnent le départ à la première voiture et au premier motocycle; les départs se succèdent ensuite à 30 seconde d'intervalle, ainsi que les indiquent les tableaux qui suivent; 36 Voitures et 17 Molocycles, au total 53 Véhicules. C'est un progrès sensible sur l'année dernière ; la course de Marseille à Monte-Carlo n'avait eu que 39 partants : 29 Voitures et 10 Motocycles.

Le premier arrivé à Hyères est CHARRON : 1 h. 26' 2", temps exact du parcours 2 h. 11' 2". Il n'est cependant que le troisième en comptant les temps exacts: le premier est RENÉ DE KNYFF 2h.8'39", et le second GILLES HOURGIÈRES 2 h. 10'.

Les trois premiers sur motocycles sont MARCELLIN 2 h. 12' 22", OSMONT 2 h. 13'42", Mmc LAUMAILLÉ 2 h.23'29".

Les Voitures au dessous de 400 kilogrammes se sont laissé légèrement distancer, la première, GEORGES RICHARD, ayant fait le parcours en 2 h. 24' 16".

A Hyères sont arrivés seulement 46 véhicules. Les sept manquants sont: Comiot, CORRE, Guy d'Honcourt, Liégeard, Montariol, une voiture Audibertet Lavirotte, et un motocycle.léger.

M. LIÉGEARD a versé à la descente du Beausset, mais sans aucun mal pour personne: il n'en est pas de même, malheureusement, pour CORRE qui, ayant buté contre une borne à un passage à niveau, a étéprojeté sur le sol et relevé sans connaissance, puis transporté à l'hôpital.
Automobiles 52 engagés. Tout ce que le monde des chauffeurs compte de spécialistes sera nu départ. Parmi les plus marquants, relevons les noms de Reconnais. H. Meyer. Rigal, Marcellin, Osmont, Bardin, Baras, Girardot, Vasseur, Deraester, Gasté, 11. Fournier, Kossier et tutti- quanti. Parmi eux, bon nombre ont déjà accompli le parcours. Ge sont Osmont, Bardin. Vasseur, Rigal. Girardot et Marcellin ont fait Lille-Calais. Baras a fait Paris-Lille; ce qui est suffisamment indiquer que la roule leur est connue. Notre préférence est vu, ses dernières victoires, pour Béennnale, suivi de très près par OMinont.
Dernières notes sur rentraînenient Les Entraîneurs de Lepoutre En outre de la voiture Mors " pilotée par Gaston Courhe-Doutrelou, Lepoutre sera tiré par une voiturette CORRE conduite par CORRE lui-même, et sur la tin du parcours, par une " Panhard " de douze chevaux, appartenant à un des plus distingués chauffeurs lillois.
Nous avons dit plus haut que l'un des favoris de lu course Paris Roubaix, le coureur lillois Lepoutre, devait être tiré au départ par la nouvelle voiturette CORRE, système Renault, pilotée par CORRE lui-même. Tous les chauffeurs se souviennent encore de la révélation que fut le voyage extraordinaire de CORRE accompagné de son ami George Prade, en 22 jours,à travers toute l'Europe Centrale, en passant par leTyrol, l'Italie et la Suisse, traversant le Simpson à plus de 2,000 mètres d'altitude,sur la première voiturette système Renault, avec un seul moteurde Dion à ailettes de 2 chevaux 1 4. La voiturette Corre-Renault se construit aujourd'hui avec moteur à ailettes de 2 chevaux 3 4, et avec moteur de 3 chevaux à circulation d'eau; encore peu connue dans notre région, elle est cependant appelée à y avoir un grand succès, tant à cause de sa résistance que de sa simplicité. Les amateurs peuvent la voir et l'essayer à l'Agence générale d'automobiles, chez MM Declercq et Cordonnier, 5, rue Jean-Roisin, à Lille, où se trouvent également, livrables de suite, les véritables voiturettes de dion- Bouton, les véritables tricycles de dion- Bouton.les tricycles-licence de Dion, Perfecta, etc..... les avant-trains Petit-Jean, Barré, d ... L'Agence générale d'automobiles a d'ailleurs, toujours en magasin, un lot considérable de motocycles, voiturettes et voitures d'occasions, ainsi que lous les accessoires, pièces détachées, motqnrs, etc..etc... Elle est en outre l'agence et le dépôt à Lille des pneumatiques Michelin,dont l'éloge n'est plus a faire.

avril 1900 Paris- Roubaix
LE CIRCUIT DES ARDENNES
(PAR DÉPÊCHES DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL)
La seconde journée.- Même succès que la première journée. - Organisation parfaite. - Victoire des Darracq dans les voiturettes et des Griffon dans les motocyclettes.
ARLON, 23 juin. - La seconde journée n'a pas été moins réussie que la première. Cette fois, c'est à Arlon, cité coquette bâtie en amphithéâtre sur un magnifique plateau d'où l'on découvre toute la plaine du Luxembourg belge et les hauteurs boisées de Martelange et de Habay-la-Neuve, que nous nous trouvons.
Toute la ville est en rumeur, car c'est la première fois qu'on court ici, et l'accueil n'est ni moins franc ni moins cordial qu'à Bastogne. Toute la ville est pavoisée et le comité local d'Arlon-Attraction ainsi que le gouverneur, le comte de Brye-Boxia, ont fait des merveilles.
Le service d'ordre est fort bien fait et soldats et pompiers dégagent la rue qui mène du faubourg de Neufchâteau au faubourg de Bastogne.
C'est sur la place qu'est installé le contrôle où fonctionnent MM. de Crawhez, Haczinski, de Beukelaer et Heirmann, Hansez, comte de Hemptinne.

Jenatzv, baron de Turckheim, Raczenski, baron de Hemptinne, Mulders de Bajenrieux, du Bus, de Marna.ue, de la Charlerie, Gopper, Ruyz Or-ban, Van de Spek, Goldschmidt, comte de Lie-dekerke, Bidoult, Pisart, Franeau, Dewandre, Hansez, frères de Beukelaer, Closset, Michat, Sicot, Price, Denis, CORRE, Pasty, Longuemare, Decker t, etc.
On devait d'abord faire partir les voiturettes le matin puis les motocyclettes, mais vu le peu de voiturettes (treize), on a décidé de faire partir les motocyclettes peu après les voiturettes.
On trouvera ' plus loin le tableau des départs, des temps de chaque tour et le classement.
Voici d'abord une légère philosophie de la journée : Dans la catégorie voiturettes deux Darracq sont parties et toutes deux sont arrivées en tête. Wagner avec la première et Villemain avec la seconde; le premier dans un temps excellent qui présuppose près de 70 de moyenne. Les engins de Darracq sont très rapides, on le savait déjà, ils ont montré leur résistance incontestée et leurs quatre-cylindres, qui semblaient de-I voir dévorer le châssis, l'ont laissé intact. La performance est splendide et mérite d'être 1 soulignée. C'est un beau tour de force mécanique, indice d'une bonne qualité de métal.
Aussitôt derrière, avec des engins certainement moins rapides, mais très réguliers, arrive un lot composé de de Boisse, Vilain et CORRE qui se classent dans cet ordre. Tous
trois ont leur mérite, de Boisse et Vilain, qui sont à quelques secondes, d'accomplir une telle performance avec un seul. engin en ligne, et. CORRE qui avait trois engins, de les amener tous trois- au poteau,' ce -qui lui assure là Coupe de régularité de cette catégorie. De Boisse est un jeune qui mérite d'être encquragé.,

Vilain vient d'accomplir, avec sa Prunel, une suite .de performances de belle régularité,et quant à Corre, il fait une fois de plus le tour de torce de l'équipe entière classée et bien classée. ' " ' ' ' ' " '
Les voiturettes Ader classées sont en bon rang et cela confirme l'impression de régularité qu'elles donnèrent dans Paris-Bordeaux.
Birnbàum a très malheureusement cassé sa fusée 10 kilomètres avant l'arrivée et perdu de ce fait la Coupe de régularité.
. Les Clément,, enfin,, ont eu la guigne et n'ont pu, cette fois, donner leur mesure.
ARLON,' 23 juin. — Les départs ont été donnés dans l'ordre ci-dessous et aux heures indiquées à partir de 9 heures.
La course a sèulément, après rectification d'une partie - de l'itinéraire, deux cent soixante-douze kilomètres a couvrir en deux tours.
Le premier départ a été donné à 9 h, 2 par MM. Hermann, de Beukelaer et Hansez.


No 39, Corre sur Tricycle et comte Dion regarde comment les choses se passent
Fin periode Corre
Fin periode Corre
Jean Marie CORRE sur CORRE no.31
Course Paris-Madrid
PERSON sur CORRE no.263